On vient de me faire remarquer que mes scribouillages - terme non utilisée par la personne sus-citée mais par moi-même dans un but de fausse modestie - faisaient, en comparaison de ce qu'il me fut arrivé d'écrire, figure de chocolat Nesquik avec plein de nounours à la guimauve. Et je dois dire dans une déclaration post-réflexion, que je ne puis qu'agréer cette sentence, qu'il s'agisse de la forme ou du fond, mers références à l'équivalent Center Park à Buchenwald, ou au niveau de formation du CAP Boucherie-charcuterie rwandais, ayant de beaucoup diminués, comme si je m'étais retrouvé affecté d'ophtalmodynie et me complaisait dans cet état morbide. Le fait est que ma propension à poursuivre mon adaptation personnelle de l'hédonisme m'a poussé à contenir quelque état dyscole qui n'eut en aucun cas pu concorder avec cette vaine quête, et qui en outre me poussât par un mécanisme surcompensatoire à régurgiter une tambouille immonde de nounours à la guimauve dont même mon orifice anal serait honteux à l'idée d'en reconnaîtrela légitimité. Considérant, par ailleurs, que peu importe ce que j'eusse essayé dans cet autre vain dessein qu'a été la tentative de provocation d'une évolution numérique ascendante du nombre de cyber-badots sur cet espace virtuel d'expression personnelle pseudo-libre, mon succès a été de fait similaire pour ne pas dire identique à l'utilité de l'auriscalpe dans le domaine carpologique, j'ai opté pour une tentative plus cathartique et subséquemment sans aucun doute vouée à être plus grinçant que drôle au sens commun, la plèbe reconnaissant généralement comme humoristique une combinaison de paf le chien et du best-of de carambar. Dans une tentative desultoire elle couronnée de succès, je vais donc clamer haut et fort que je ne peux plus encaisser la promotion de la pseudo-artiste interprète musicale au pseudonyme profondément à chier Zaz qui déclame - avec un sourire la condamnant pour incitation au suicide sur la fédération française des chirurgiens dentistes - l'apologie d'une philosophie de bisounours new age tout juste propre à rembourrer les chaussures trop grandes qu'un clodo aurait récupéré dans une poubelle de l'Upper east side new-yorkais. N'étant pour le moment à même de déterminer si le plus vomitif de sa prestation concerne le visuel ou l'auditif, je me contenterai avant de gagner ma couche de déplorer qu'elle semble vraiment croire aux déblatérations enflammées dont se constitue son écorchage sonore et qui s'opposent délicieusement au système auquel elle adhère à partir du moment où elle a accepté la commercialisation dont la promotion audiovisuelle nous boursoufle les tympans jusqu'au collapsus. Sur ce, je m'en vais gagner un sommeil qui à défaut d'être réparateur me permettra tout au moins d'occulter l'existence pêle-mêle de l'objet de ma diatribe, de l'UMP, des anti-bouffeurs de chevaux, des religieux intégristes, de Paris Hilton, de Michaël Vendez-l'tas, de HADOPI, des auteurs de la loi HADOPI, de la conception existentielle du capitalisme, des dragées, du MEDEF et de la salade verte. |
Dimanche 20 juin 2010 à 2:00
Von Vicomte geschrieben
Doléances
Par Diary-Adventures le Lundi 5 juillet 2010 à 15:13
Tu vas me maudire sur une bonne quinzaine de générations, mais la première fois que j'ai entendu Zaz j'ai pas détesté. Attention j'ai pas dit pour autant que j'avais aimé ! Enfin bon en même temps je ne me suis pas non plus encore penché sur les paroles j'ai juste écouté en speed mais d'après ce que tu en dis là, je sens qu'aller au fond des choses ne va pas spécialement me plaire (et bien entendu il n'y a dans cette phrase aucune métaphore bizarre ou pouvant être mal interprétées, après tout ce n'est pas le genre de la maison !)
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